Approche philosophique des TIC en Afrique
Université Catholique d'Afrique Centrale, Institut de Yaoundé, Faculté de Philosophie, filière éducationM1 et M2, superviseur, Marcelline Djeumeni Tchamabe
Sommaire
Introduction. 3
I. CLARIFICATION CONCEPTUELLE.. 4
1. La technique. 4
2. Nouvelle technologie. 4
3. Education. 5
II. L’HOMME ET LES NOUVELLES TECHNOLOGIES. 6
1. La naissance humaine dans la technique. 6
2. Les nouvelles technologies : une désacralisation de l’homme. 7
III. LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DANS LE DOMAINE EDUCATIF. 8
1. Les nouvelles technologies comme moyen de l’éducation. 8
2. Les nouvelles technologies comme fait de l’éducation. 9
IV. UNE ETHIQUE AUX NOUVELLES TECHNOLOGIES. 11
1. Une éducation aux nouvelles technologies. 11
2. Un accompagnement des nouvelles technologies. 11
Conclusion. 13
Bibliographie. 13
Introduction
La question de l’éducation à toujours été au centre des interrogations philosophiques. Déjà au cœur de la pensée antique la question du type d’homme pour la société et de l’éducation de celui-ci dans l’acquisition de sa citoyenneté était objet de constant débat. Dans l’évolution des époques, chaque civilisation à essayer en fonction de ses réalités de donner une réponse à cette interrogation. Aujourd’hui, s’appuyant sur tout les progrès réalisés par les civilisations précédentes nous essayons tant bien que mal de donner une réponse à cette interrogation qui se pose à nous avec acuité. Mais cette fois avec les multiples bouleversements technologiques qu’à connu notre civilisation, cette question se pose en des termes totalement différents. Les questions sur l’éducation à notre époque devraient donc s’adapter aux innovations du siècle actuel particulièrement aux nouvelles technologies en vogue pour être vraiment efficace et répondre au besoin de l’homme contemporain. Mais en quoi ces nouvelles technologies peuvent elles contribuer efficacement à la réalisation du projet éducative de l’homme contemporain? Que représentent-elles pour l’éducation ? Et dans quelles postures leur usage aiderait-il au mieux être de notre personne?
Notre travail dans l’optique t’apporter un élément de réponse à la question, dans une perspective anthropologique, va s’articuler autour de quatre points essentiels. Nous appuyant sur une clarification conceptuelle de la question, nous montrerons d’abord la relation de l’homme historique avec la technologie, pour ensuite présenter dans le contexte éducative, le rôle des nouvelles technologies et en fin de travail nous proposerons dans la perspective de garantir le respect de la personne et un usage utile des technologies, une éthique dans l’usage de celle-ci.
I. CLARIFICATION CONCEPTUELLE
1. La technique
A la question de savoir ce qu’est la technique, deux réponses apparaissent :
« D’après l’une, la technique est le moyen de certaines fins. Suivant l’autre, elle est une activité de l’homme. Ces deux manières de caractériser la technique sont solidaires l’une de l’autre. Car poser des fins, constituer et utiliser des moyens, sont des actes de l’homme. La fabrication et l’utilisation d’outils, d’instruments et de machines font partie de ce qu’est la technique. En font partie ces choses mêmes qui sont fabriquées et utilisées, et aussi les besoins et les fins auxquels elles servent. L’ensemble de ces dispositifs est la technique. Elle est elle-même un dispositif (Einrichtung), en latin un instrumentum »[1].
La technique apparait donc dans sa représentation courante et selon une conception instrumentale et anthropologique comme un moyen et une activité humaine avec des fins précises. Elle est l’ensemble des procédés d’un art, d’une science ou d’un métier pour produire une œuvre ou obtenir un résultat déterminé[2].
2. Nouvelle technologie
Les nouvelles technologies capent sur des domaines mixtes et variés, très évolutifs dans le temps, immédiatement même. Elles touchent à diverses disciplines de la technologie, en entendant par celle-ci, la science des techniques. On peut les analyser sous des angles différents. Au sens étroit donc, il s'agirait de tout ce qui est NTIC ou encore les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication. Ainsi, on trouve un regroupement d'innovations et de techniques applicables en matière de traitement et la transmission des informations, en se basant sur l'informatique en général, mais aussi sur l'Internet et sur les télécommunications. Au sens large avec l'évolution actuelle, la notion de nouvelles technologies, ou plus précisément de haute technologie s'élargit vers des secteurs comme la robotique ou encore l'intelligence artificielle, l'aérospatiale ou encore les biotechnologies[3].
3. Education
Le mot « éducation vient du latin « educare » « nourrir, avoir soin de », l’éducation signifie faire grandir, enseigner, former »[4]. Il s’agit d’un acte « qui est une action éducative intentionnelle. Elle s’exerce dans une institution dont les buts sont explicites et les méthodes codifiées ».[5] Dans un sens plus large, c’est un acte proche de la socialisation, action qui vise à faire de l’enfant un homme accompli. C’est également un ensemble de processus et de moyens mis en œuvre pour permettre l’apprentissage.
II. L’HOMME ET LES NOUVELLES TECHNOLOGIES
1. La naissance humaine dans la technique
Les techniques aujourd’hui peuvent avec leur nouveauté poser de nombreuses questions, mais leur rôle dans l’humanisation de l’homme n’est pas des moindres. Pour le comprendre dans sa profondeur, il faut remonter à la paléo-anthropologie, avec la confection (par l’homohabilis) des outils en pierre, en os, en dent ou en corne qui ont révolutionné la vie de l’homo habilis. Ainsi, avec la technique l’homme dans son évolution a abandonné un état de sa vie au profit d’un autre. Comme le souligne Jean Michel BESNIER : « elles lui ont permis de développer une pensée conceptuelle, qu’elles l’ont obligé à inscrire son développement dans la dynamique d’une complexité croissante et de devenir, tout simplement, un être de culture »[6].
Ainsi, la socialisation de l’homme dans une certaine mesure s’est faite avec la technique. L’invention des outils comme moyen de transformation de la vie est étonnante. C’est comme si elle le contraignait en retour à une évolution. Avec ces inventions, l’homme est passé de l’artisanat qui lui-même avait déjà totalement changé ses manières, en lui exigeant de nouvelles manières ou modes d’usage, à une évolution moderne qui elle même est révolution totale de la vie humaine, personnelle et sociale. Dans tous les domaines de la vie sociale, l’apparition et la découverte de la vie technique ont été comme une invitation pour l’homme à une plus grande humanisation. Ainsi, depuis l’évolution d’outils dans la création de la maison, - passage des huttes aux appartements modernes-, jusqu’à l’ordinateur et la biotechnologie, la vie de l’homme tant sociale qu’anthropologique s’est inventée dans la technique. C’est bien ce que affirme clairement Bernard STIEGLER en ces termes : « l’homme s’invente dans la technique en inventant l’outil en s’extériorisant techniquement »[7]. La technique a permis à l’homme de sortir de son obscurantisme, et de son ignorance initiale. Elle lui a donné de quitter l’état d’esclave de la nature pour en devenir le maître. Grâce à elle et à la technologie moderne aujourd’hui, l’homme est capable de voir et d’explorer une pluralité d’horizon, de rentrer dans un rapport nouveau avec ses semblables et bien d’autres choses encore.
2. Les nouvelles technologies : une désacralisation de l’homme
La technique et maintenant la nouvelle technologie n’a pas fait que donné naissance à l’homme, mais elle a apporté de nombreux bouleversements d’un point de vue anthropologique et aujourd’hui semble réduire celui-ci à n’être qu’une particule élémentaire de l’univers. La personne humaine qui autrefois était considéré comme objet de la technique est passé avec la modernité à être sujet de tout un monde matériel qui est contraint de suivre sans protester. La nouveauté avec les techniques évolue à une telle vitesse et avec unetelle autonomie qu’aujourd’hui on a tendance à se demander quelle sera la place de l’homme de demain. En effet, à voir la rapidité avec laquelle le temps qui séparait jadis l’invention de l’innovation en terme d’application se raccourcir, on se pose la question de savoir si la recherche du bonheur de l’homme semble toujours être la priorité ou est ce l’innovation à tout prix. Cette interrogation se trouve confortée avec la présence de plus en plus de machine dotée d’autorégulation et de système fonctionnant comme de véritables organismes propres. C’est à ce propos que J-M. BESNIER affirme qu’: « à force d’avoir voulu réaliser leur autonomie grâce à des machines qui leur assurait la maîtrise sur leur environnement, les hommes ont fini par accordés cette autonomie aux machines elles-mêmes, par leur déléguer au point de se trouver secondarisé et aliéner par elle »[8]. Ainsi, sans le vouloir, l’homme a fait des nouvelles technologies, l’auteur et le maître de son développement, lui inculquant la responsabilité de l’invention d’un homme nouveau, un homme d’acier, à l’abri de la mort et éternelle. De ce fait, l’ère contemporaine loin de rester une simple spéculation sur la question est dans son développement, est la phase de réalisation d’un tel projet.
A voir l’évolution récente en biotechnologie avec les nanotechnologies, le clonage et plus proche encore le projet de « l’uploading » c'est-à-dire l’ambition de télécharger le contenu de cerveau sur des matériaux inaltérable (par exemple les puces de silicium) susceptible d’être implanté à volonté dans d’autres corps ou dispositifs, on se demande si les nouvelles technologies ne sont pas en train d’inventer un successeur pour l’homme.
III. LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DANS LE DOMAINE EDUCATIF
Le domaine éducatif a connu ces dernières années de nombreuses révolutions, tant sur le plan de l’enseignement que celui de l’apprentissage. Et cela, nous devons à plus d’un titre à l’utilisation croissante de la nouvelle technologie dans ce domaine. Ces révolutions, ont eu pour corollaire d’occasionner des bouleversements de tous ordres ; tant scolaires, sociaux que culturels.
1. Les nouvelles technologies comme moyen de l’éducation
Dans le domaine de l’enseignement, ce profil aujourd’hui la mise sur pied de nouvelles techniques et pratiques qui facilitent dans bien des cas l’administration de l’enseignement permettant dans un certain sens à l’enseignant de fournir moins d’énergie dans celui-ci et par là de conserver et ménager sa santé. Ainsi, avec l’enseignement à distance, il est aisé pour un enseignant de rester à la maison et dispenser les cours sans aucun problème. C’est le passage des cours présentiels aux cours à distance ou par correspondance. Les TICS bien au-delà de l’apport dans la recherche des connaissances sont des outils d’une connectivité profonde entre apprenant et enseignant. Elles favorisent la formation d’une communauté en relation à la recherche des réponses aux questions qui préoccupent l’apprenant. Elles donnent selon Raulin, « la possibilité aux élèves d’être actifs, d’être acteurs (…), elles favorisent également le travail collectif, l’écoute et le respect de l’autre, la prise de responsabilité, la solidarité dans la conduite d’un projet collectif, etc. »[9]. En un mot, elles donnent à la société un individu capable d’œuvrer pour son développement. Ainsi, connaître et apprendre implique alors bien plus q’acquérir et traiter des connaissances. C’est comme le souligne LIMARD : « un engagement et une transformation personnelle de l’apprenant en tant que sujet et acteur de sa connaissance »[10]. Avec SEYMOUR PAPERT dans le cas par exemple de son langage de la ‘tortue logo’, il paraît claire que les nouvelles technologies pourraient accélérer le développement intellectuel de l’apprenant, permettant à celui-ci de recevoir les informations de l’environnement et de les traiter de manière différentes c’est à dire par sa raison. Ainsi l’apprenant agit sur son environnement en posant des questions sur sa propre façon d’agir. Cela à pour avantage de développer chez l’apprenant la commutativité, la sensibilité et l’autonomie satisfaisant ainsi le désir de sens, de vérité et d’unité qui demeurent l’aspiration la plus profonde de tout être humain. Elle est capable de donner une certaine humanité aux personnes. C’est le cas par exemple des handicapés moteurs qui peuvent apprendre comme les autres au moyen des logiciels et programmes spécialisés. En effet avoir la capacité de suivre et d’apprendre comme les personnes dits « normaux », servirait ainsi à mettre fin à toute pensée d’infériorité et par là même à rétablir l’individu dans son identité de personne.
2. Les nouvelles technologies comme fait de l’éducation
Le rôle novateur des nouvelles technologies comme moyen d’éducation n’est pas des moindres, toutefois, des questions fondamentales se posent quant à leur impact non seulement sur le bien intégral de la personne humaine, mais aussi sur sa culture, celle-ci définissant en bien des points l’identité de l’individu. Aujourd’hui, face à la distance d’un point de vue humain qui s’installe entre l’utilisateur des Tics et les autres, la question qui se pose est celle de savoir si les nouvelles technologies n’ont pas développé chez l’homme un certain individualisme qui l’éloigne de plus en plus de ses pairs, lui inculquant une certaine dépendance.
De plus en plus avec les nouvelles technologies et les possibilités des cours à distance besoin n’est plus de se déplacer. L’on peut tout simplement rester chez soi et suivre un cours (conférence Visio, emails, audioconférence etc.). De plus, avec les réseaux sociaux comme Facebook elles constituent une « noosphère » qui aurait pour risque non pas de mettre les personnes en véritable rapport mais les enfermer et les isoler dans un monde virtuel où la réalité du monde et les véritables rencontres humaines s’évanouissent.
Plusieurs autres bouleversements oubliant que l’éducation n’a pas pour finalité les nouvelles technologies mais la personne et affectant en effet plusieurs domaines essentiels sont perceptibles :
- La relation avec soi et sa propre image,
- La façon d’envisager les images qui nous entourent,
- La perception de l’espace et du temps,
- Les formes de la connaissance : la rigueur du travail à long terme perd sa valeur chez l’enseignant comme chez l’apprenant. Le constat est celui de la culture de la facilité naissante avec le copier/coller et le plagia.
On assiste aujourd’hui à un déséquilibre au niveau du langage occasionné par la technologie. Le langage se trouve de plus en plus diminué et menacé par les technologies qui veulent le simplifier, le transformer et même le rendre inutile. L’exemple de l’effet extrême produit sur le langage par les SMS est la correction automatique des ordinateurs sont illustrant à ce propos. Et avec une telle régression, c’est toute l’identité humaine qui prend un coup. Elles dessinent également de nouvelles façons d’être ensemble, la famille en est évidemment la première touchée, notamment par l’usage des téléphones mobiles et d’Internet.
L’ensemble de ces changements dessine peu à peu une nouvelle culture qui n’est plus celle du livre, mais des écrans. Il en résulte le risque d’une fracture générationnelle, avec des conséquences graves sur la transmission. Avec l’Internet la transmission verticale du savoir tend à disparaître par exemple en Afrique. Autrefois les connaissances se transmettaient de père en fils, avec l’Internet la transmission des connaissances deviennent transversale. Les jeunes ont la possibilité de voyager sans quitter leur pays. L’Internet nous fait visiter le monde, découvrir, des paysages et d’autres contrés qui n’existaient que dans l’imaginaire et les récits des anciens aux soirs de veillée. Le réflexe du jeune écolier aujourd’hui, n’est plus d’interroger grand-père pour répondre à des enquêtes sur l’histoire de sa ville. Il pense d’abord à interroger son ordinateur. Grand-père si savant et même l’enseignant, si puissant qu’il soit, n’est consulté que pour de brefs compléments de l’information livrée par le serveur. Dans le pire des cas, ils sont considérés comme incompétents de fournir quelques connaissances que ce soit. C’est tout l’ordre socioculturel et la gérontocratie traditionnelle qui disparait[11].
Mais ce monde qui nous donne l’impression de nous échapper sans cesse ne se construit pas sans nous. Des moyens de le faire évoluer favorablement existent. Certains relèvent de la famille, d’autres de l’école, et d’autres enfin des collectivités publiques.
IV. UNE ETHIQUE AUX NOUVELLES TECHNOLOGIES
1. Une éducation aux nouvelles technologies
En matière de recherche et d’acquisition de connaissance, toute une démarche éducative doit être apprise à l’enfant. Il est nécessaire pour lui :
- Apprendre à cerner et sélectionner les documents, à les interpréter et en faire des connaissances, après en avoir critiqué les sources ;
- Intégrer dans le cadre d’Internet, la recherche documentaire sur les sites à usage pédagogique dans les projets documentaires en partenariat avec les enseignants de disciplines précises ;
- Eduquer les jeunes à l’utilisation de l’ordinateur, particulièrement Internet comme moyen pour préparer ou prolonger un contact humain fraternelle ;
- Aider les jeunes à se donner une ligne de conduite, les faire vivre en cohérence avec leur identité d’être humain social. C’est en ce sens d’ailleurs, que Benoît XVI, lors de la journée mondiale des communications sociales 2011 insistait pour le jeune sur « la question de bien agir, mais aussi de l’authenticité de son être propre »[12] ;
- Cultiver la prudence et le respect de l’enseignant. Il s’agit de faire comprendre aux jeunes que leur compétence approfondie probable de l’outil informatique par rapport à l’enseignant, n’exclut en rien l’aptitude de celui-ci à leur apporter la connaissance recherchée.
2. Un accompagnement des nouvelles technologies
Les nouvelles technologies sont peut être révolutionnaires pour l’éducation, mais doivent savoir que l’homme n’a pas pour seul besoin le savoir, il a aussi besoin d’aimer, de croire et de se fier à un être transcendant. L’éducation pour qu’elle soit totale et véritable doit lui permettre en tant que homme de rentrer en relation confiante et vrai avec les autres et avec lui-même. De plus, avec le développement récent et toutes les réalités sociales rencontrées sur Internet, il est plus que nécessaire d’une législation efficace sur le contenu des informations qui y sont diffusées. Ainsi, un risque réel d’interdépendance entre la personne et la machine nécessite plus que jamais une vigilance coopérative à tous les niveaux des acteurs impliqués dans le domaine éducatif et une créativité informée et responsable.
Conclusion
Notre travail ayant consisté à présenté dans une approche anthropologique, la question des nouvelles technologies comme une nouvelle possibilité éducative qui exige une éthique en ce qui concerne l’usage pour un total bien être de notre personne, nous pouvons au terme de celui-ci dire que les nouvelles sans aucun doute sont un élément essentiel pour l’éducation aujourd’hui. Mais en même temps il est nécessaire dans leur usage d’un respect de certaines règles qui éviterait toute déviation et tentative de faire d’elle le fondement et le but de l’éducation. Or, l’éducation elle-même n’a de sens que lorsqu’elle s’oriente vers la réalisation de la personne, lorsqu’elle fait de l’homme son centre d’intérêt. C’est toute l’invitation adressée aux nouvelles technologies dans le domaine éducative et même social.
Bibliographie
1- Martin Heidegger, Essais et conférences, Éd. Gallimard, trad. André Préau, 1958
2- Michel Blay (sous dir), Dictionnaire des concepts philosophiques, Larousse-CNRS éd, 2007
3- G. Pallante - P. Thierry Elobo, l’autre éduqué, cours de philosophie de l’éducation, Yaoundé, 2007
4- www.taxiclic.com
5- J-M BESNIER, les nouvelles technologies vont-elles réinventer l’homme in revue Etudes, Paris, Juin 2011
6- Moustafa Mbengue, Résumé du mémoire de DSSIC : Internet et enjeux culturels en Afrique, p.4 disponible sur le site www.oui.net
[1]Martin Heidegger, Essais et conférences, Éd. Gallimard, trad. André Préau, 1958, p. 9.
[2] Michel Blay (sous dir), Dictionnaire des concepts philosophiques, Larousse-CNRS éd, 2007
[3] http://www.taxiclic.com
[4] G. Pallante-P.Thierry Elobo, l’autre éduqué, cours de philosophie de l’éducation, Yaoundé, 2007, P. 8.
[5] Idem
[6] J-M BESNIER, les nouvelles technologies vont-elles réinventer l’homme in revue Etudes, Paris, Juin 2011, p. 764.
[7]J-M BESNIER, la technique et le temps 1, Ed Galilée, p. 952.
[8] J-M BESNIER, les nouvelles technologies vont-elles réinventer l’homme in revue Etudes, Paris, Juin 2011, p. 768.
[9] RAULIN D., Nouvelles technologies, nouvelle pédagogie, Paris, CNDP, (Coll.
de l’ingénierie éducative), 2001, p. 11.
[10] LIMARD M., « les TICE, un pont entre faire et dire », 2000a. Le texte est consulté à l’adresse : www.cafe-ecole.com/retranscriptions/tice.htm.
[11] Moustafa Mbengue, Résumé du mémoire de DSSIC : Internet et enjeux culturels en Afrique, p.4 disponible sur le site www.oui.net
[12] Benoit XVI, Vérité, Annonce et Authenticité de vie à l’ère numérique in Documentation Catholique, 2011, p. 219.
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