AFFOJTICE- La Fraternité numérique JEUNESSE ET TICE

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Education et nouvelles technologies

 EDUCATION ET NOUVELLES TECHNOLOGIES évaluation d'un étudiant

 

 

Aujourd’hui, avec le développement et l’ampleur récent des TICs, il parait clair que leur présence dans tout les domaines de la vie est indéniable. Dans le cadre de notre cours, il était question surtout d’examiner son rapport à l’Education. Ainsi, nous nous sommes penché sur l’importance des TICs dans la redynamisation et l’efficacité du système éducatif, tant au niveau de l’apprentissage que de celui de l’enseignement. Les TICs dans l’éducation donnent un tout autre aspect à l’enseignement et à l’apprentissage. Avec les cours à distance et les cours avec assistance tutoriel par exemple c’est tout une possibilité de formation innovatrice qui est offerte. L’ordinateur est devenu un outil fondamental dans l’activité éducatif. Avec des logiciels de programmation, l’enseignement comme l’apprentissage prennent une autre tournure. Les apprenants en face d’un ordinateur se trouvent plus motivé et stimulé face aux taches qui leur sont demandés dans leur apprentissage, la possibilité pour l’enseignant de passer son enseignement plus fluide et l’éducation lui-même devient participative. Cette utilisation a le mérite de développer chez l’apprenant l’ouverture de son esprit à l’acquisition des connaissances.  Cette utilisation des TICs dans l’éducation se fait à plusieurs niveaux différents. Une classification nous permet de nous rendre que l’usage des TICs en éducation peut être centré à trois niveaux : soit sur l’acte d’enseignement/apprentissage, soit sur l’école ou soit sur l’apprenant.

            Même si le rôle des TICs en éducation se révèle indéniable, il n’en demeure pas moins qu’il pose également le problème de la fracture numérique entre pays riche et pays pauvres, pays du nord et pays du sud. Il est vrai que chaque Etat pose la question de façon différente mais dans le cas de nos Etat africain la question se pose avec acuité. Au Cameroun par exemple, au moment où l’on parle du désir avec l’ère numérique de faire du monde, un « village planétaire », on constate que non seulement la fracture entre les villes pose problèmes, mais aussi que la maitrise technique et l’usage des TICs en éducation pose problèmes chez les enseignants. Ils n’utilisent pratiquement pas les TICs soit parce qu’ils ne sont pas assez accès à l’outil informatique ou soit parce qu’ils n’ont pas assez de compétence technique sur l’usage et qu’il se laisse envahir par le découragement en face de la moindre difficulté. La question qui se pose alors dans la majorité de nos Etats africains face à la question des TICs en éducation est donc liée d’une part à la fracture numérique et d’autre part à la compétence des enseignants. Une réflexion sur la question, suggère dans la situation actuelle pour pallier au manque de compétence des enseignants, que la pratique des TICs soit introduite dans le programme de formation des enseignants. Et que pour ce qui est de la fracture entre les villes, elle propose en attendant une véritable disponibilité d’outils informations et une connectivité adéquate, l’utilisation des téléphones mobiles (portable) en éducation, en raison non seulement de la facilité d’accès à celui-ci pour tous mais aussi pour l’intérêt qu’il suscite chez tous. L’outil doit nous aider à rechercher, approfondir et utiliser les informations. Avec lui, c’est serait une possibilité du moment de faire entrer l’Afrique dans ce monde numérique du savoir et de l’information.

En conclusion, je pourrais dire que ce cours loin de donner des réponses toutes faites à été le lieu d’ouvrir l’esprit et de le diriger vers les questions essentielles que pose le rapport TICs-éducation, dans la perspective de trouver des réponses par soi même, aussi pratique (évaluation des compétences concrètes des TICs), que théorique(connaissance plus approfondi des systèmes tel que. Dans le cas par exemple de l’afrique, il s’agissait de voir la réalité des nouvelles technologies. Le point de départ de notre travail a été de poser une question sociétale : pourquoi les nouvelles technologies en Afrique et particulièrement au Cameroun. Il s’agissait de prendre conscience de la réalité des TICS dans notre quotidien. Aujourd’hui où on parle des technologies universelles et de globalisations informatiques, de société de savoir l’afrique ne peut pas rester en marge. Toutefois a ton révisé les questions de compétences avant de parler de l’introduction de l’Afrique dans ce monde des technologies. Il faut donc former à partir des besoins essentiels des personnes et des populations pour l’élaboration de politique et stratégie efficace.

 



27/01/2012
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