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Pensez-vous que l'Afrique puisse rattraper son retard numérique?
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RESUME DU TEXTE « TYPOLOGIE DES TYPOLOGIES DES USAGES DES « TIC » EN EDUCATION » DE JOSIANNE BASQUE ET KARIN LUNDGREN-CAYROL. PAR TIWA LUCIE DORLINE (O5L585), OWONA EWOTI INNOCENT NOEL (07L551)
Depuis les premières expériences de l?introduction des TIC en éducation aussi bien formelle qu?informelle dans les années 60 et 70, les usages des TIC dans le domaine de la pédagogie se sont multipliés à grande échelle. C?est dans ce cadre que Josianne Basque et Karin Lundgren-Cayrol se sont proposées d?élaborer un document intitulé Typologie des typologies des usages des « tic » en éducation dont le but est de répertorier et de catégoriser les différents usages des TIC afin d?offrir aux chercheurs et aux praticiens en éducation un outil propice qui leur permet de cerner les applications possibles des TIC chacun dans son domaine et de leur donner par la même occasion les dénominations des différents outils de diffusion des TIC.
Dans un premier temps, elles ont défini le mot « typologie ». Selon elles ce mot renvoie à un « système de description, de comparaison, de classification, voire d?interprétation ou d?explication des éléments d?un ensemble, à partir de critères jugés pertinents, qui permet de ramener d?une façon simplifiée à quelques types fondamentaux une multiplicité d?objets ou de phénomènes distinct » (Sauvé, 1992, dans Legendre, 1993, p. 1382).
Dans un second temps, elles ont présenté les fonctions d?une typologie selon Legendre 1993, où trois fonctions sont à distinguer : les fonctions descriptive, interprétative et prédictive.
Elles ont dans un troisième temps dévoilé leur propre typologie des typologies des usages des TIC dans l?éducation. Elles ont distingué trois catégories :
1) Les typologies centrées sur l?acte d?enseignement/ apprentissage, qui ont pour critère de classification une ou plusieurs variable(s) définissant une situation pédagogique. Trois sous catégories sont à distinguer ici :
a- Les typologies s?intéressant au rôle de l?ordinateur au sein de la relation pédagogique (exemple le modèle des 3T de Taylor)
b- Les typologies qui mettent l?accent sur le degré de contrôle exercé par l?apprenant par rapport à celui qu?exerce l?ordinateur
c- Les typologies qui regroupent les usages des TIC selon les stratégies pédagogiques et (ou) les types de connaissances que les TIC permettent de supporter.
d- Les typologies qui associent les TIC à des étapes spécifiques du processus d?enseignement
2) Les typologies centrées sur l?école qui visent à répertorier l?ensemble des usages possibles des TIC au sein d?un établissement d?enseignement. On distingue ici deux sous catégories :
a- Les typologies qui associent les usages des TIC aux activités d?une école
b- Les typologies qui associent ces activités plutôt aux acteurs de l?éducation
3) Les typologies centrées sur l?apprenant dont le système de classification repose sur les différentes façons dont les TIC peuvent supporter les activités de l?apprenant. On distingue ici trois sous catégories :
a- Celles qui classifient les usages des TIC selon les impulsions naturelles des individus à apprendre
b- Celles qui les classifient selon les fonctions cognitives supportée par les technologies
c- Celles qui les classifient selon les étapes du processus d?apprentissage ou encore les étapes du processus humain de traitement de l?information.
Dans une dernière partie elles ont classé les auteurs selon les trois types de typologies qu?elles ont distinguées plus haut.
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0 | J'aime | Le 26 mai
RESUME DU TEXTE « TYPOLOGIE DES TYPOLOGIES DES USAGES DES « TIC » EN EDUCATION » DE JOSIANNE BASQUE ET KARIN LUNDGREN-CAYROL. PAR TIWA LUCIE DORLINE (O5L585), OWONA EWOTI INNOCENT NOEL (07L551)
Depuis les premières expériences de l?introduction des TIC en éducation aussi bien formelle qu?informelle dans les années 60 et 70, les usages des TIC dans le domaine de la pédagogie se sont multipliés à grande échelle. C?est dans ce cadre que Josianne Basque et Karin Lundgren-Cayrol se sont proposées d?élaborer un document intitulé Typologie des typologies des usages des « tic » en éducation dont le but est de répertorier et de catégoriser les différents usages des TIC afin d?offrir aux chercheurs et aux praticiens en éducation un outil propice qui leur permet de cerner les applications possibles des TIC chacun dans son domaine et de leur donner par la même occasion les dénominations des différents outils de diffusion des TIC.
Dans un premier temps, elles ont défini le mot « typologie ». Selon elles ce mot renvoie à un « système de description, de comparaison, de classification, voire d?interprétation ou d?explication des éléments d?un ensemble, à partir de critères jugés pertinents, qui permet de ramener d?une façon simplifiée à quelques types fondamentaux une multiplicité d?objets ou de phénomènes distinct » (Sauvé, 1992, dans Legendre, 1993, p. 1382).
Dans un second temps, elles ont présenté les fonctions d?une typologie selon Legendre 1993, où trois fonctions sont à distinguer : les fonctions descriptive, interprétative et prédictive.
Elles ont dans un troisième temps dévoilé leur propre typologie des typologies des usages des TIC dans l?éducation. Elles ont distingué trois catégories :
1) Les typologies centrées sur l?acte d?enseignement/ apprentissage, qui ont pour critère de classification une ou plusieurs variable(s) définissant une situation pédagogique. Trois sous catégories sont à distinguer ici :
a- Les typologies s?intéressant au rôle de l?ordinateur au sein de la relation pédagogique (exemple le modèle des 3T de Taylor)
b- Les typologies qui mettent l?accent sur le degré de contrôle exercé par l?apprenant par rapport à celui qu?exerce l?ordinateur
c- Les typologies qui regroupent les usages des TIC selon les stratégies pédagogiques et (ou) les types de connaissances que les TIC permettent de supporter.
d- Les typologies qui associent les TIC à des étapes spécifiques du processus d?enseignement
2) Les typologies centrées sur l?école qui visent à répertorier l?ensemble des usages possibles des TIC au sein d?un établissement d?enseignement. On distingue ici deux sous catégories :
a- Les typologies qui associent les usages des TIC aux activités d?une école
b- Les typologies qui associent ces activités plutôt aux acteurs de l?éducation
3) Les typologies centrées sur l?apprenant dont le système de classification repose sur les différentes façons dont les TIC peuvent supporter les activités de l?apprenant. On distingue ici trois sous catégories :
a- Celles qui classifient les usages des TIC selon les impulsions naturelles des individus à apprendre
b- Celles qui les classifient selon les fonctions cognitives supportée par les technologies
c- Celles qui les classifient selon les étapes du processus d?apprentissage ou encore les étapes du processus humain de traitement de l?information.
Dans une dernière partie elles ont classé les auteurs selon les trois types de typologies qu?elles ont distinguées plus haut.
0 | J'aime | Il y a 1 jour
L'ingenierie pédagogique
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atemengue moise
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L Afrique peut ratraper son retard numerique a condition de bien former les jeunes;de vulgariser les programmes informatiques; de rendre les outils informatigues accessibles a tous.En outre il faut motiver les jeunes a aimer la numerique en montrant a travers les emissions televisee les entretiens dans les milieux scolaires et universitaires les biens faits de la numerique ;ses realisations palpables.
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bblaure
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Le retard de l'Afrique en matière numérique reste tout de même une priorité pour les gouvernements africains dans le projet Education Pour Tous (EPT) c'est l'une des actions à mener parmi tant pour arrimer les africains au numérique certes ça mise en place est lente faute de professionnels,du matériel adéquat et pire même nos besoins sont encore primaires ça mettra du temps mais j'ai la ferme conviction que nous y arriverons et je pense également que nous devons encourager les efforts faits par l'Etat en protégeant le matériel qui est mis à notre disposition au lieu de le vandaliser car avant nous il a servi des gens et après il doit continuer à servir.
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Le retard numérique de l'Afrique est une préoccupation majeure pour les États africains. C'est dans le but de rattraper ce retard que le gouvernement camerounais s'est atteler premièrement à ouvrir les filière TIC dans les écoles normales supérieures pour ainsi former les enseignants qui iront eux aussi former les élevés des lycées et collège. de même qu'il a créer des filière TIC dans certaines lycées et collèges de la république. Cependant, il n'est pas facile pour l'Afrique de rattraper son retard elle peut tout de même réduire l?écart avec le reste du monde.
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Bien évidemment que l'Afrique peur rattraper son retard numérique. L?émergence dans le monde numérique vient de la vulgarisation de la technologie, pour ainsi donner la possibilité aux différentes couches de la société et différents domaines d'apprentissage de produire des potentiels génies. C'est dans cet optique que le gouvernement Camerounais s'est engagé en ce qui concerne l'informatique, ce qui est vraiment très encourageant. Notre part est de d'entreprendre la formation, d'y mettre toute notre énergie, et laissons les résultats A Dieu.
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A la question de savoir si l?Afrique peut rattraper son retard numérique, je dirai oui je ne le pense pas seulement. j?y crois fermement comme je le ferai pour un projet qui me tiens à c?ur et que je réaliserai contre vents et marrées.Si l?Afrique accuse un réel retard aujourd?hui hui face aux avancées technologiques fastidieuses,à la prolifération des TIC, c'est parce qu'elle ne s'est pas encore remise des vestiges laissées par la colonisation. Plus qu'une aspiration ,c est un projet qui n'est pas loin de se réaliser . D'ailleurs plusieurs chantiers sont entrepris pour palier à ce manque.Chez nous au Cameroun par exemple,plusieurs innovations pédagogiques en matière de TIC ont été mises sur pied.si les dés sont ainsi lancés, alors rien ne peut nous arrêter .Nous,Africains, ferons de grandes choses pour notre continent si les gouvernants mettent leur main à la pâte et sortent de leur sommeil léthargique!
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L' Afrique apparait de nos jours comme l?une des partie du monde qui est en arrière par rapport à tous les autres continent notamment d?ailleurs sur tous les plan que ce soit scientifique technique, technologique qu?informatique. Ce retard que l?Afrique accuse aujourd?hui a laissé beaucoup de consciences humaines penser que l?Afrique est maudite ou encore elle n?est pas encore dans l?histoire c?est dire que les africains et en particulier les noirs ne sont pas encore les hommes. Hegel il y a 300 ans aujourd?hui et Sarkozy de France notre contemporain le défendent. Cependant, si les pays qui hier étaient au même niveaude misère comme l?Afrique ont fait un sur saut d?orgueil, on pense ici à la
Chine, à l?Inde et aux nouveaux dragons d?Asie qui sont des Etats qui se sont hissés au sommet de l?échelle de la science et des TIC mais aussi parce qu?ils ont réalisé dans l?histoire ce qu?on va appeler la révolution numérique. Cette révolution est-elle possible en Afrique ? Autrement dit l?Afrique peut ?elle rattraper son retard numérique ? La réponse c?est oui l?Afrique peut rattraper son retard qui n?est pas d?ailleurs une fatalité. Cependant, à condition qu?elle rompt avec ce complexe d?infériorité vis à vis de l?homme blanc au profit de l?affirmation de soi. Ceci interpelle les Etats Africains, c?est à dire les gouvernements d?une part et les peuples africains d?autre part. Pour ce qui du gouvernement au Cameroun par exemple, il faut la mise en place d?une politique numérique cohérente et audacieuse avec les moyens adéquats. Cette politique doit viser à doter les salles de classes, les amphis, les salles de conférence et les laboratoires de l?outil informatique. Nous devons avoir des entres multi média, des vidéos projecteurs, des ordinateurs de la dernière génération que sais-je encore ? Rendre internet accessible à tous. Par ailleurs, les Etats africains doivent former le personnel enseignant à l?outil informatique : c?est ce qui se fait déjà au Cameroun où des filières à ce sujet sont créées dans les universités d?Etats et des grandes écoles (ENS, PLYTECH?). Il faut par le gouvernement inciter lajeunesse et les consciences en général, à l?usage de l?outil informatique et aux TIC, vulgariser leur bien fondé car rien de grand ne se construit dans un Etatsans la jeunesse. Du coté des populations africains il faut le bon usage des TIC mis en leur dispositions.
En guise de conclusion, il s?avère qu?au regard de ce qui est dit plus haut que l?Afrique peut rattraper son retard numérique il suffit d?être audacieuse et de faire l?usage de l?ingénierie pédagogique seules ces solutions ainsi évoquées peuvent ainsi réduire l?écart numérique de l?Afrique face aux vieux continent, face à L?inde et à la Chine, face à Israël et au Japon, et enfin face à l?Amérique du nord et au Brésil considérés comme les parties du monde très avancées en matière numérique.
Dernière modification le samedi 28 Mars 2015 à 16:42:39
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L'Afrique par rapport aux autres continents , accuse un réel retard technologique.Le taux couverture internet est estimé à 8 pour cent.Toute chose qui s'apparente à un véritable scandal à l'heure du tout numérique car s'il est vrai comme l'estime Pierre Hadot que "celui qui ne croit pas à la science aujourd'hui est un rêveur dangereux", cela est d'autant plus vrai en matière numérique.Il est donc nécessaire que le"berceau de l'humanité" travaille à combler son retard en matière technologique.Une prise dans ce sens est d'ailleurs perceptible de part et d'autre du continent.Ainsi, on constate de plus en plus des investissements importants en matière notamment d'infrastructures.Au cameroun par exemple, le domaine éducatif est désormais à l'ère du numérique.L 'introduction par exemple de l'informatique comme matière d'enseignement en est une illustration.En outre l'on peut citer plusieurs programmes visant à intéresser les populations au numérique.Cest d'ailleurs dans ce sens que s'inscrit par exemple le programme"Mijef 2035" que vient de lancer l'I.A.I.En somme, le retard de l'Afrique en matière numérique est réel des initiatives sont de plus en plus prises pour y remédier.Le retard peut être comblé à condition que l'Afrique continue d'y travailler.
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C'est un constat partagé que le retard de l'Afrique en matière numérique est criard. A quoi ce retard est-il dû? Plusieurs raisons, notamment des raisons d'ordre historique peuvent l'expliquer. Ces raisons se caractérisent pour l'essentiel par la domination du continent africain d'abord par la traite négrière,ensuite par la colonisation, à quoi s'ajoute la néo colonisation qui est en place aujourd'hui. Cependant, on ne peut pas rejeter tout le tort sur les autres, dédouanant ainsi les Africains de toute responsabilité à ce problème. L'Africain, en l'occurence le dirigeant politique, a une grande part de responsabilité pour notre retard aujourd'hui en matière numérique. Ceci est dû précisément à une prise de conscience assez tardive de l'enjeu que représente la puissance numérique dans le développement technologique, et par conséquent, dans le développement de nos pays. Il est vrai, cette prise de conscience est aujourd'hui quasi effective. Cela se ressent à travers l'intérêt de plus en plus croissant accordé à l'informatique, notamment par l'intégration des cours d'informatique dans le programme scolaire.
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Le développement des technologies s'opère de façon globale et exponentiel au sud. mais cette évolution galopante est différentiée au Sud et au Nord. le Sud accuse un retard certain. ce retard est sensible en Afrique pour des raisons tenant principalement ou à la déficience des infrastructures. en effet, "l'environnement africain de l'information et de la communication présente les caractéristique suivants: faible taux de pénétration des opérateurs de téléphonie mobile, absence d'ingénieur qualifié, et quand bien il y en a, ils préfèrent l'exil, faible croissance des réseaux, systèmes démodé, tarification élevée des installations privée" ECA, 1999, P. 8 nous serons alors tenté de nous poser cette question de René Dumont à savoir si l'Afrique refusait le développement? non je ne pense pas. puisque l'Afrique du Sud et le Maghreb s'illustrent fort bien dans ce domaine. cependant il faudrait que les dirigeants africain tiennent "le taureau par les cornes" comme le fait déjà certains d'entre eux. c'est dans ce sens que le programme "Minjef 2035" que minsep a cité abonde. le retard est là, il est constaté, des efforts sont faits, mais la lutte continue pour remédier au retard numérique de l'Afrique
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